Dans un joyeux esprit pascal, j’ai posé, pendant le week-end, la question suivante à ChatGPT : « Pourriez-vous formuler des propositions concernant les entreprises pour le Comité interministériel des Outre-Mer de mai 2023 ? »
Je vous laisse partager les réponses :
Encourager et soutenir la création d’entreprises locales, en offrant des avantages fiscaux et des subventions pour les investissements dans les secteurs clés tels que l’agriculture, le tourisme, la pêche, les énergies renouvelables,
Développer des programmes de formation et de mentorat pour les entrepreneurs locaux, en partenariat avec des entreprises nationales et internationales, afin de renforcer leurs compétences et leur capacité à développer des entreprises
Faciliter l’accès au financement pour les petites et moyennes entreprises (PME) locales, en élargissant les possibilités de financement par le biais de prêts à taux d’intérêt bas, de subventions ou de programme de garanties de prêts.
Encourager les entreprises nationales et internationales à investir dans les territoires d’Outre-Mer en offrant des avantages fiscaux et des incitations fiscales pour les investissements dans les secteurs clés, en créant un environnement commercial favorable et en réduisant les coûts de
Soutenir le développement d’infrastructures de communication moderne et fiables, telles que la fibre optique et les technologies sans fil, pour permettre aux entreprises locales de se connecter avec des clients et des partenaires à l’échelle nationale et
Renforcer la coopération entre les entreprises locales et les établissements d’enseignement supérieur, les laboratoires de recherche et les centres d’innovation, pour encourager l’innovation et la création de nouveaux produits et
Promouvoir la diversification économique en encourageant la création d’entreprises dans des secteurs émergents, tels que les technologies propres, la bioéconomie, l’économie circulaire, etc…
Ces propositions pourraient aider à renforcer l’économie des territoires d’Outre-Mer en créant des emplois locaux et en soutenant le développement économique durable.
On approuverait plutôt, tout en attendant que le Gouvernement ajoute à l’intelligence artificielle des éléments plus concrets, plus opérationnels, plus adaptés aux enjeux précis que connaissent les entreprises. Bref, la valeur ajoutée d’une décision politique.